Tout le monde a les yeux braqués sur le mois de Septembre, cette rentée qui s'annonce socialement compliquée... La peur est présente, elle se diffuse dans les médias, dans nos discussions, dans les pensées, en nous... Mais au final cette peur qui prend tant de place n'est qu'une anticipation collective et individuelle sur l'avenir. Oui, des gens vont souffrir, oui d'autres seront heureux, oui les choses continueront à évoluer, parfois en bien, parfois en moins bien. Mais ces changements éventuels ont tous une part d'opportunité. L'histoire a toujours été mouvementée, de tout temps, à toute période des personnes y ont bien vécues, d'autres moins bien. L'anticipation du futur, ne sera toujours qu'un reflet de l'image que chacun se fait des changements à venir, alors demandez vous ce que deviennent vos pensées sur le futur si vous en retirez la peur, si le seul facteur qui vous influence maintenant est une sensation de confiance.
Nicolas 46 ans - "Je suis mécano depuis 28 ans, je voulais être à mon compte et à 32 ans je montais mon propre garage, plein d'ambition et de fougue. ça n'a pas tourné comme je le voulais et j'ai accumulé des dettes. je bossais 11h par jours, je ne voyais plus ma femme et ma gamine de 2 ans. Le peu de temps que je passais avec elles, mes pensées étaient ailleurs, j'avais peur de tout perdre, j'ai même pensé au suicide quand les premiers courriers des huissiers sont arrivés... Tout s'est arrêté, je n'avais plus rien, même plus de boulot. Après 4 mois de chômage et de grosse galère j'ai été embauché comme mécanicien dans une petite société de transport. Il m'a fallu encaisser ce que je considérais comme un déclassement. J'ai dû apprendre à changer ma perception de cette nouvelle situation, j'ai été aidé pour y parvenir. Aujourd'hui, 6 ans après ce que je croyais être un marasme, je suis chef d'atelier dans cette société, j'ai des horaires fixes, un salaire très correct et surtout, je passe du temps avec ma famille et mes amis. Je respire enfin. Merci Marc pour votre aide."
Nicolas 46 ans - "Je suis mécano depuis 28 ans, je voulais être à mon compte et à 32 ans je montais mon propre garage, plein d'ambition et de fougue. ça n'a pas tourné comme je le voulais et j'ai accumulé des dettes. je bossais 11h par jours, je ne voyais plus ma femme et ma gamine de 2 ans. Le peu de temps que je passais avec elles, mes pensées étaient ailleurs, j'avais peur de tout perdre, j'ai même pensé au suicide quand les premiers courriers des huissiers sont arrivés... Tout s'est arrêté, je n'avais plus rien, même plus de boulot. Après 4 mois de chômage et de grosse galère j'ai été embauché comme mécanicien dans une petite société de transport. Il m'a fallu encaisser ce que je considérais comme un déclassement. J'ai dû apprendre à changer ma perception de cette nouvelle situation, j'ai été aidé pour y parvenir. Aujourd'hui, 6 ans après ce que je croyais être un marasme, je suis chef d'atelier dans cette société, j'ai des horaires fixes, un salaire très correct et surtout, je passe du temps avec ma famille et mes amis. Je respire enfin. Merci Marc pour votre aide."
